Biosphère article 5 : Les bio (édition spéciale)
On voit qu’aujourd’hui le bio (organic en anglais) a une place prépondérante face à l’agriculture conventionnelle. Elle est que de 3% de l’agriculture globale en France, mais progresse de plus en plus grâce aux idées nouvelles et positives, proposant ainsi une alternative.
Les prémices de l’agriculture biologique sont entendues à partir de 1920 par les thèses du philosophe autrichien Rudolf Steiner, où les agriculteurs anthroposophes mettent en pratique sur leurs terres arables. De là, le mot change de sens par l’agronome Albert Howard, fondant le mouvement «organic farming» après la seconde guerre mondiale. En France, le terme « Bio » prend de l’intérêt à partir des années 50, autour du groupe Lemaire-Boucher (l’agronome Jean Boucher et le négociant en grain Raoul Lemaire), où l’idée est de ne plus utiliser des produits chimiques et des pesticides en utilisant un engrais naturel, comme l’algue, pour fertiliser les sols. Par la suite, des réglementations sont nées, en 1991 le premier règlement européen fixe les règles de production, en 1999, le FAO et l’OMS l’intègrent dans le Codex Alimentarius afin d’élaborer des normes alimentaires.
Le bio fait partie des solutions qui pourraient préserver la planète, grâce à la pratique respectant la biodiversité. Cet article parle des avantages mais aussi des problématiquesde l’agriculture biologique et de sa consommation grâce aux recherches établies sur les livres et les articles sur internet. L’idée est de trouver des solutions rapides face à la dégradation de notre planète, et ainsi instaurer une protection envers l’humanité, la faune et la flore. Le sujet est vaste, car elle touche l’ensemble de notre écosystème, il se constitue en plusieurs chapitres : la démographie humaine, l’éducation, la santé, la consommation et l’agriculture.
Je rappelle que je ne suis qu’un illustrateur de profession, n’ayant pas le savoir universel dans ce domaine. J’apporte mes connaissances dont j’ai trouvé en lisant des livres d’agronomes reconnus et en apportant mon expérience personnelle, étant un passionné sur ce sujet. Je relève donc l’information en la partageant et en la simplifiant. L’espace commentaire est là pour que vous exprimiez sur ce sujet, libre à vous d’apporter vos connaissances.
I – la démographie humaine
Depuis l’homo-sapiens, la démographie s’est stabilisée durant plusieurs millénaires.
La cause est due à plusieurs facteurs :
- l’espérance de vie était faible, par exemple, durant l’antiquité à l’apogée romaine (pax romana), l’espérance de vie moyenne était de 25 ans.
- La mortalité infantile était très élevée, par exemple, Karl Marx avait 7 enfants avec Jenny Marx, seul 3 d’entre eux ont survécu.
- Les guerres et les épidémies étaient fréquentes et longues, on rappelle la grande peste noir du XIVème siècle ou la guerre de 100 ans.
Depuis le début du XXème siècle, la courbe démographie a explosé, on note un renouvellement de la population de 1 à 2 milliards d’individus en 75 ans de 1850 à 1925. Là aussi plusieurs facteurs sont en cause :
- L’évolution de la médecine, grâce à Louis Pasteur, le vaccin fait reculer le taux de mortalité notamment infantile.
- La contraception était encore méconnue durant la première moitié du siècle. Pour la France, on a attendu la loi Neuwirth et la loi Veil pour prendre conscience de la démographie grandissante (et évidemment pour plus de liberté aux femmes). À cette époque, en 1970, on était à 50 millions d’individus, comparés à 40 millions d’individus de 1945 (politique du baby boom).
- La fin des famines dans les pays développés, après la seconde guerre mondiale, une politique d’agriculture intensive afin d’éradiquer la faim.
- La religion, qui est contre toute forme de contraception. On note un taux de natalité importante dans les pays en voie de développement, notamment en Afrique pratiquant diverses religions. Et aussi dans les pays développés, comme les puritains américains contre l’avortement et la contraception, favorisant la famille nombreuse.
Dans cette analyse, on peut constater que la démographie a explosé depuis le début du XXème siècle, même l’épidémie de la grippe espagnole et les deux guerres mondiales les plus meurtrières de l’histoire de l’humanité n’ont pas ralenties la courbe. L’agriculture intensive, dite conventionnelle de nos jours était donc un choix judicieux pour l’époque afin de nourrir le monde. L’agriculture biologique considérée comme peu productive et non intensive, a été mise de coté au profit de l’agriculture conventionnelle. Notamment en France, où elle a du reconnaître son retard par rapport aux autres pays européens. Aujourd’hui, les mentalités changent, grâce à une meilleurs communication sur l’agriculture biologique de manière positive, le taux de natalité chevauche avec le taux de mortalité, ce qui veut dire une croissance respectable sur du long terme. Avec une population stable, la France peut préserver sa biodiversité et éviter de nouvelle défrichage. Car dit plus de population, dit agrandissement des villes urbaines, des zones agricoles pour nourrir cette nouvelle population. Dans ce cas, l’agriculture biologique peut exploiter ces terres et préserver la biodiversité en laissant vivre les insectes pollinisateurs, les arbres et les fleurs. Il faut donc une éducation poussée (développé dans le prochain chapitre) de la population sur la contraception et de limiter de 2 à 3 enfants par couple, afin de stabiliser la démographie et ainsi préserver les terres dépourvues d’urbanisation (protection des réserves naturelles). De là, l’agriculture biologique pourrait mieux se développer, à exploiter son potentiel pour combattre la malnutrition et maintenir une meilleure santé des générations futures. Mais le bio n’est pas une solution en soi, car il faut nourrir une population grandissante, je développe en profondeur dans le chapitre « l’agriculture » des autres solutions d’agricultures.
II – l’éducation
L’éducation est très importante car elle permet à l’être humain de réfléchir par lui même et d’apporter les solutions les plus fiables pour notre planète. Il est clair, que aujourd’hui, l’éducation des générations actuelles s’est dégradée, d’une part il manque les bases élémentaires de la part des parents sur la façon dont l’enfant doit apprendre (cuisine, botanique, éveil sur la nature etc…) d’autre part l’éducation nationale ne forme pas les enfants à être heureux, malgré qu’ils apprennent beaucoup de chose, la vérité est que chaque individu est différent et doué dans un domaine, mais qu’ils sont mal orientés. Ces cas sont observés dans les pays développés, la consommation de masse, l’obsolescence programmée et le matraquage marketing poussent les familles à se mal comporter, d’où l’absence d’une éducation juste pour les enfants. Fort heureusement, les mentalités changent, et les comportements s’améliorent, mais pas assez vite, les gouvernements devraient améliorer l’éducation de leur pays et de ne plus avoir une confiance absolue des lobbyistes. Par exemple, des entreprises ou des associations (comme Botanic, ou des collectivités publiques) proposent des services pour apprendre aux enfants le jardinage et à reconnaître les fruits et les légumes. Tout comme l’éducation nationale qui devrait avantager les plats bio dans les cantines afin de sensibiliser les enfants, de créer des cours de cuisine pour les apprendre à concocter des bons petits plats etc… des solutions existent. Le bio a une connotation positive et un moyen (même marketing) de changer le comportement des gens. Si le marketing marche pour le conventionnelle, pourquoi pas faire de même pour le Bio (bien sûr, rudement contrôlé pour éviter les dérives). Pour ma part, le Bio nous mène sur le bon chemin pour trouver les meilleurs solutions et devrait faire partie de l’éducation des générations futures (apprentissage du jardinage sans pesticides et produits chimiques, utilisation du composte etc…).
De même pour former les futurs agriculteurs, en intervenant des agronomes dans des écoles et des universités pour changer les mauvaises habitudes ancrées depuis plusieurs décennies, des formations en agriculture biologique et sur l’agriculture écologiquement intensive (développé dans le chapitre « agriculture »). Tout cela pourrait changer les mœurs des agriculteurs où les activités conventionnelles d’aujourd’hui doivent diminuer, voire disparaître. Il y a aussi l’isolement des agriculteurs du monde d’aujourd’hui, ayant du mal avec les nouvelles technologies pourtant bénéfique pour leurs exploitations. L’ère numérique à mon sens doit autant consacrer dans le secteur tertiaire que dans le secteur primaire, celui-ci est souvent oublié au profit des industries agro-alimentaire et la grande distribution, handicapant pour les agriculteurs. Des institutions doivent aider les agriculteurs à passer à l’ère numérique, de collaborer avec des ingénieurs et des techniciens du numérique et des nouvelles technologies pour améliorer leur condition de vie et ainsi favoriser une agriculture durable.
III – la santé
L’agriculture intensive conventionnelle a monopolisé les pratiques de culture depuis les années 50, et par conséquence, la mauvaise habitude d’utiliser beaucoup de pesticides durant cette période. Le constat est sans équivoque, l’utilisation des pesticides à outrance a provoqué une santé dégradante chez l’être humain, en plus de l’éradication des insectes qui participent à la biodiversité. L’utilisation des insecticides dans le groupe des néonicotinoïdes (clopride et le fipronil) tuent les abeilles, mais pas que, la majorité des insectes ont diminué de 80% en population en 15 ans, soit une diminution d’un tiers de la population des oiseaux de campagne qui se nourrissent d’insectes (principalement les oisillons), toute la biodiversité est concernée. Pour l’être humain, l’affaire du Glyphosate a révélé des nombreux témoignages de cancers chez les agriculteurs, comme l’augmentation des maladies rares et le pire, les malformations de naissance des générations suivantes de plus en plus fréquentes. Les dérives proviennent du fait que les multinationales d’agrochimiques contournent les réglementations autour du dosage en utilisant des multitudes de pesticides (insecticides, fongicides, herbicides et rodonticides), ce cocktail devient dangereux car l’accumulation dépasse les doses réglementaires (la Limite Maximale en Résidus, en acronyme LMR).
Nous observons aujourd’hui les conséquences de l’agriculture intensive conventionnelle, car le poison s’installe lentement mais sûrement. Après 50 ans d’exploitation et l’augmentation de l’épandage à cause de la résistance de plus en plus accrue aux pesticides des certaines plantes ravageurs, l’accélération des maladies rares sont observés dans les hôpitaux, la multiplication de cancer et de tumeur aussi.
IV – la consommation
On le sait tous, la consommation alimentaire dans les pays développés est de plus en plus déséquilibrée, à cause des produits ultra-transformés que vendent les industries agro-alimentaires (voir en détail sur mes autres articles). Je vais parler ici des conséquence de cette consommation moderne reposant sur un système capitaliste ultra-libérale:
- Instauration du DLC (date limite de consommation) avec des dates de plus en plus courtes, forçant les français à revenir le plus souvent en magasin. Des promotions en achetant en quantité etc… sans se rendre compte, les ménages achètent trop pour faire des économies, hors ces mauvaises manières favorisent le gaspillage.
- La gastronomie française impose le dicta de l’oméga 6, donc une consommation trop importante en viande, fromage, lait et autres produits laitiers. L’élevage intensif s’impose de plus en plus pour combler la consommation jusqu’à proposer des concepts farfelus, comme la ferme des 1000 vaches et ainsi une pollution accrue.
- Le sucre est omniprésent dans tous les produits transformés, étude à l’appuie : le sucre est plus additif que la cocaïne, cela permet aux industries agro-alimentaire de manière indirecte, de forcer le consommateur à acheter régulièrement ses produits. Une surconsommation en calorie (la plupart vide) qui impacte sur l’environnement.
- La plupart des produits sont emballés, le plus souvent en plastique et non recyclable. Le plus probant est les yaourts, en plus de l’emballage carton, il y aussi le pot en plastique.
D’autre conséquences sur la consommation de masse ont une impacte sur l’environnement. Le fait que les consommateurs conservent ses mauvaises habitudes, favorise des problèmes qui touchent aussi la biodiversité. Il y a donc en amont, un travail à faire sur la manière de consommer en fonction des besoins (un sportif de haut niveau n’a pas le même dépense calorique qu’un sédentaire). Il faut donc réduire l’apport animal et augmenter l’apport légumes/fruits enrichis en vitamines et minéraux, et équilibrer à nouveau notre alimentation. En achetant des produits en vrac, on élimine les emballages donc des déchets en moins. Le principe est d’éviter le plus possible les déchets non recyclable, qui sont une galère à détruire (en plus de la pollution conséquente).
Le bio passe le message d’une consommation raisonnée, ayant moins de production que l’agriculture conventionnelle et une faible proportion d’agriculteur biologique (3 % en France). Le Label propose des produits de qualités et respectent les normes environnementales. Les consommateurs Bio ont plus tendance à manger mieux et équilibrés, ainsi plus consciencieux de l’environnement grâce aux méthodes de vente des magasins Bio (vente en vrac, sachet recyclable, produits locaux, fruits et légumes de saison etc…). Il est donc en contradiction de la consommation de masse, favorisant les produits locaux (si le produit existe et possible de produire dans la région, par exemple, on propose plus des pêches françaises que des pêches espagnoles). Le prix est plus élevé que le conventionnel, ce qui est logique vu les faibles rendements, mais à mon humble avis, c’est un mal pour un bien, car cela permet aux consommateurs de choisir judicieusement ses produits pour éviter de gaspiller.
Mais attention, le Bio n’est pas totalement transparent. Je suis témoin d’une vaste mascarade dans les hypermarchés (Carrefour) dont je délivre mon expérience de consommateur. En effet qui a eu l’idée dans ces magasins de vendre des produits Bio sous emballage plastique ? Oui, vous avez bien lu, dans la logique des choses, on propose ces produits de qualités en vrac et non sous plastique non recyclable. Il y a aussi certaines dérives sur des produits Bio détournant les réglementations grâce à l’importation lointain (riz, l’huile d’olive, épices, thé, etc…). C’est la dérive du Bio dans la grande distribution afin d’accaparer le business, je déconseille fortement d’acheter les fruits et légumes dans les grandes surfaces, si possible, il faut acheter les produits Bio dans des magasins spécialisés tel que Biocoop, Botanic, La vie claire, l’eau vive etc…
V – L’agriculture
Comme mentionné plus haut, en prenant le cas de la France, les agriculteurs sont abandonnés par l’État, donnant les mains libres aux multinationales d’agrochimiques. Ainsi, ils manipulent sans scrupule les agriculteurs pour vendre le plus possible leurs produits sans expliquer les conséquences de leur utilisation sur du long terme. C’est un matraquage marketing pour prouver que leurs produits augmenteraient les rendements des productions.On peut voir donc des réactions ubuesques des agriculteurs s’associant à ces multinationales pour minimiser l’impact des insecticides sur les insectes pollinisateurs et critiquent la colère des apiculteurs. Résultat, l’interdiction de certains insecticides en 2004 arrivent tardivement provocant, aux États-Unis, une diminution importante de la population des abeilles, soit de 40 % des colonies entre 2015-2016. De même pour le glyphosate, durant le salon de l’agriculture, le président Emmanuel Macron interpelle des agriculteurs céréaliers, ceux-ci le reprochent de la sortie du glyphosate d’ici 3 ans au lieu de 5 ans. Les agriculteurs se sont donc bornés à rester dans les veilles traditions, croyant dur comme fer que les produits magiques sont le résultats d’une production croissante. Mais ce n’est en aucun cas leurs fautes. Ayant déjà mentionné, ils sont sous la contrainte des multinationales d’agrochimiques imposant les semences, les engrais chimiques et les pesticides, mais pas seulement, la grande distribution leur impose des tarifs bas en achat de leurs produits pour empocher une plus grande marge. C’est donc au rôle des politiques, et ainsi du ministère de l’agriculture d’imposer des lois allant vers la protection de la biodiversité et des agriculteurs. On a donc vu l’application de la loi du 8 août 2016 pour la reconquête de la biodiversité, déjà un premier pas sur le changement de l’agriculture. Effectivement, le mode de production doit changer, pour la question de nourrir la planète en constante augmentation, les agronomes s’accordent à remplacer l’agriculture conventionnelle intensive par l’agriculture écologiquement intensive. Pour ce qui est de l’agriculture biologique, elle est fortement encouragée, car elle apporte l’idée positive de la biodiversité, mais sa production plus faible que l’agriculture conventionnelle ne pourrait nourrir la planète. Libre aux agriculteurs de choisir leur mode de production en adéquation à leurs idées, petite quantité et une grande qualité pour AB, et grande quantité et une qualité raisonnable pour le AEI. L’AEI a été instauré par le Grenelle de l’environnement en 2008 et favorise une agriculture durable et en accord sur la protection de la biodiversité et de l’écosystème. Elle sera en étude de recherche auprès des agriculteurs où des personnes hautement qualifiées (agronomes, génie civil etc…) apporteront leurs connaissances pour améliorer les conditions. Ainsi l’objectif est :
- la réduction drastique des pesticides et engrais chimique, favorisant les produits organiques.
- La mise en exploitation de nouvelles formes de cultures ( culture en contour, culture en terrasses, cultures en bandes, culture sans labour) afin de réduire l’érosion hydrique et éolienne.
- créer des coopératives ou accentuer les relations entre éleveurs et agriculteurs pour un échange de service afin de participer à la biodiversité
- Instaurer la polyculture et des cycles de rotation, afin de réduire l’attaque d’insectes ravageurs et de maladies
Concernant l’élevage écologiquement intensive :
- l’élevage en plein air des animaux, accessibilité en libre service de la nourriture (foin et céréale)
- La vaccination des animaux, afin d’éviter de donner des anti-biotiques tout le long de leur vie.
V – Conclusion
Il est clair que ce constat pessimiste ne laisse pas un monde meilleurs, même pire, un monde sans vie. Mais si je rédige cet article, c’est pour ouvrir les consciences, de ne plus subir ce simulacre de bonheur par le matérialisme à outrance, par une consommation de masse qui nourrie seulement les plus riches (ceux qui détiennent la moitié de la richesse du monde). Mes illustrations à contrario sont plus optimiste, et même un coté humoriste, car je crois que ce n’est pas totalement perdu, une révolution citoyenne se prépare, comme à l’époque des lumières et de la renaissance. Mais pourquoi parler du bio ? Déjà c’est un sujet qui me tient à cœur, que j’étudie de font en comble, et puis, il fait partie d’un mode agricole appartenant au futur, qui ouvre des portes à d’autres agricultures respectueux de la biodiversité ( l’agriculture raisonnée, l’AEI). C’est un acte citoyen pour ma part, car l’agriculture conventionnelle doit être remplacée. Oui vous avez bien lu, cette agriculture a fait son temps, il a été inventé car l’homme avait peur de la famine, qui était l’une des plus grosses mortalités dans le monde. Mais aujourd’hui qui meure de faim ? À part les pauvres qui n’ont pas d’argent…
Il n’y a pas seulement le bio pour une société nouvelle et sauveur de l’humanité, de la flore et de la faune, il fait partie d’un profond changement que d’autres suivront :
- les nouvelles technologies sur l’énergie renouvelable
- La conquête spatiale, la colonisation des planètes
- Le recyclage des vêtements et d’autres objets
- Réorganisation de l’espace urbain
- etc…
Pour nourrir mieux le monde avec des produits de qualités, il faut résoudre le principal problème : la démographie galopante. Là encore, des solutions existent, comme la régulation des natalités grâce à la contraception (et dans la même occasion plus de liberté aux femmes, une pierre et deux coups). Je rejoins également sur l’idée du célèbre physicien Stephen Hawking, où durant une convention en 2016, avait déclaré que l’humanité s’éteindra dans 1000 ans si elle ne colonise pas d’autres planètes. Mais cela est une autre histoire…
Avant de terminer, je souhaite partager des start-up qui contribuent à ce changement positif du système. Vous pouvez les encourager et utiliser leur service :
L’application Yuka : elle permet, grâce au smartphone, de scanner les produits des supermarchés et d’analyser le contenu en proposant une note (vert, jaune et rouge).
Agence de communication, captain farm : agence de communication dédiée aux agriculteurs.
L’application la ruche qui dit oui : des magasins (les ruches) regroupant une fois par semaine les agriculteurs locaux afin de vendre leurs produits en direct (la commande se fait sur l’application)
Source :
Les livres :
Le Bio : qu’y a-t-il (vraiment) dans votre assiette ? Michel Guglielmi, Christophe David. Un monde sans famine ? Vers une agriculture durable François Ramade.
Les articles :
https://www.lexpress.fr/actualite/sciences/stephen-hawking-l-humanite-ne-survivra-pas-1000-ans-de-plus-sur-terre_1851390.html : article sur Stephen Hawking et l’importance de la colonisation de l’espace. Reportage Arté « demain tous crétins ». Reportage France « Cash investigation : pesticides », http://www.lemonde.fr/biodiversite/article/2018/03/20/les-oiseaux-disparaissent-des-campagnes-francaises-a-une-vitesse-vertigineuse_5273420_1652692.html : La disparition des oiseaux en campagne.
loi sur la biodiversité : https://www.legifrance.gouv.fr/eli/loi/2016/8/8/2016-1087/jo/texte
article sur l’addiction au sucre : http://www.liberation.fr/checknews/2018/01/29/le-sucre-est-il-plus-addictif-que-la-cocaine_1625877
Les reportages :
Reportage Arte « demain tous crétins ». Reportage France 2 « Cash investigation : pesticides »