Préface/Info : aujourd’hui je présente l’intelligentsia française sous une autre forme pour ce numéro 4. En effet, j’illustre des gens, des institutions que j’ai rencontrés ou que j’ai observés afin de parler de leur projet, de l’envie de partager leur passion. Pour moi, cette série d’article est un acte citoyen pour apprendre des gens/institutions n’appartenant pas au passé. Ainsi, il est important de les faire connaitre car leur travail, important pour notre société, est une évolution culturelle, scientifique et intellectuelle. 

C’était mon deuxième apéro professionnel en début de l’année 2016, à l’époque du nouveau hopdrink où le site hopwork abordait fraîchement le concept du « Meet-up ». Étant tout nouveau dans la région, j’y allais surtout pour connaître les meilleurs endroits de la ville de Lyon et de rencontrer les autochtones. J’étais encore assez septique de l’intérêt que peut apporter les « apéros professionnels » pour mon activité, en y allant à reculons.

Je me rappelle très bien, c’était au Elephant and Castel au bord du Rhône, l’accent étranger des serveuses et serveurs me fit sourire, m’indiquant le sous sol du bar où se situait le hopdrink. Déjà l’ambiance et la déco me mirent au parfum ! Très chaleureux, se croyant dans une taverne contemporaine. Ayant déjà participé à un hopdrink, je connaissais déjà l’organisatrice de l’événement : Marion, où je m’empressai de la saluer en lui faisant la bise locale (c’est deux sur Lyon ! Chez moi dans le Vaucluse, c’est trois, une erreur que j’ai souvent répétée, oups).

Je prenais déjà mon aise du concept de « l’apéro professionnel », j’étais comme même un peu réservé à l’approche de connaître de nouvelles personnes, n’ayant pas encore l’expérience d’aujourd’hui. Dans un coin de table, je m’incrustai tel un ninja dans le groupe en écoutant attentivement la conversation, mes oreilles se dressèrent comme celles d’un renard allant à la chasse.

C’est à ce moment là que je rencontrai pour la première fois, Alice Bertran. Quand je m’inséra dans la conversation, elle acquiesçait et répondait naturellement à mes questions et mes interrogations. À vrai dire, j’étais intimidé par cette jeune femme aguerrie, ayant une connaissance folle sur tous les événements de Lyon, sur le freelancing. Un bout d’un moment, je lui parlai de culture, et là, ses yeux s’illuminèrent d’une apparence joyeuse, captivée par le sujet. Car oui, j’avais eu la bonne surprise de pouvoir parler de tout avec elle, à croire qu’on se comprenait, entre curieux. C’est grâce à elle que j’ai connu Ticket For Change, le festival de la BD à Lyon, tous les bons tuyaux pour être un parfait lyonnais. La conversation durait un moment, mais je me dis que c’était idiot de ne pas rencontrer d’autres personnes, à cet instant précis, je rencontrais aussi pour la première fois Sophea. Je ne me suis pas aperçu sur le coup, mais cet apéro m’avait apporté les plus belles rencontres et je repartais enthousiaste en parlant avec Marion sur son vélo pendant une partie du retour.

Depuis, je recroisais Alice plusieurs fois, une amitié pro s’installait, et quand elle lança Gone Digital, je l’encourageais à continuer et à progresser (je ne suis pas le seul !!). Elle a tout d’une personne ouverte et passionnée par son métier, qu’elle le partage dans ses podcasts. Pour ma part, cette demoiselle fait partie de l’intelligentsia française, un apport important à notre culture et à notre évolution intellectuelle. J’illustre donc son projet et je le partage dans cet article, en espérant que vous prendrez plaisir, tout autant que moi, de les écouter.

Gone Digital

C’est une série de podcast parlant du domaine digital. Alice présente chaque semaine une personne passionnée et engagée dans le milieu digital. Elle pose des questions sur son parcours, sa méthodologie, ses hobbies, les logiciels utilisés, ses endroits et outils préférés etc… Prenez le temps de l’écouter durant une phase technique de travail rébarbatif :).

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